Le trouble psychotique

Le trouble psychotique

Introduction

La psychose, déjà employé lors de la Grèce Antique sous le nom de psyché-osis, qui se traduit par la maladie de l’âme. C’est au milieu du dix-neuvième siècle qu’apparait le terme de psychose proposé par Ernst (psychiatre philosophe autrichien) pour décrire la folie.

Le trouble psychotique se caractérise par l’absence de prise de recul, de critique de la part de la personne malade concernant sa pathologie psychiatrique. C’est un trouble grave de l’identité avec altération de la conscience ainsi que du rapport à la réalité. Beaucoup d’items de la sémiologie psychiatrique sont perturbés. La personne ne comprend pas la maladie et est non conscient. Il a un comportement curieux, qui surprend et qui met mal à l’aise.
La personne ne peut pas percevoir la réalité, que des morceaux. L’espace et le temps sont complétement éclatés, il n’a plus de repères. Le délire semble donc une tentative de guérison. En psychiatrie, cela est appelé le morcellement.

Hormis la bouffée délirante aigu qui peut être un épisode unique dans une vie, les autres psychoses sont chroniques. On peut citer :

  • la psychose hallucinatoire chronique
  • la paraphrénie
  • la paranoïa
  • la schizophrénie simple
  • l’hébéphrénie
  • l’oligophrénie
  • la schizoaffective
  • la schizoparanoide
  • l’héboïdophrénie

L’état psychotique se caractérise à travers un registre délirant avec ou sans hallucination (visuelle élémentaire ou complexe, acoustico-verbale avec un écho de la pensée ou une demande d’actes, gustative et olfactive avec un gout et une odeur bizarre, tactile avec une sensation d’être touché ou piqué par exemple, cénesthésique avec la sensation d’une transformation corporelle, kinesthésique avec la sensation de mouvement personnel).

L’accompagnement se réalise à travers une hospitalisation sous contrainte lors de délires manifestes, de décompensations psychotiques. Généralement, un traitement à vie s’impose aux psychotiques avec en fonction des possibilités, une psychothérapie de soutien. Les personnes psychotiques restent très tard chez leurs parents puis ensuite dans des institutions spécialisées. L’autonomie est très compliquée.

CHUSherbrooke

A. Le délire

Le délire est un trouble idéo-affectif qui consiste en une vision et une sensation faussées de la réalité extérieure auxquels la personne adhère de façon non négociable. La personne est inadaptée aux réalités et ne peut pas s’intégrer dans une société. Il existe différents mécanismes délirants comme l’intuition, les hallucinations et l’imagination, l’illusion, l’interprétation.
Il existe différentes thématiques d’idées délirantes reposant sur l’identité, et l’atteinte corporelle de la personne :

  • le délire d’influence :

la dépersonnalisation se traduit par une sensation de transformation : psychiquement (la pensée dispersée sans main dessus, se vide), corporellement (sensation d’une métamorphose de son corps, idées hypocondriaques délirantes : maladie imminente, explosion d’organes).
Ce syndrome de morcellement implique une explosion de l’unité de la personne. Physiquement et psychiquement, elle est dissociée. A ce moment là, le monde lui est intégré comme curieux et étrange. Il n’y a plus de frontière entre le délire et la réalité. Cela est due à des interventions externes. Il y a une explication à cela, quelqu’un lui vole sa pensée, la contrôle, l’encadre et a la main mise sur son corps. Tout cela se fait à distance. Ce délire est complété par des hallucinations psychiques et psychosensorielles. Des voix reformulent ses pensées, les anticipent en faisant des commentaires, donnent des ordres simples par exemple pour se protéger du monde inconnu qui l’entoure. Tout cela est l’intervention d’une influence externe, curieuse, divine, extraterrestre. La personne est le jouet de phénomènes externes magiques inexprimable agissant contre lui.

  • le délire de persécution :

la réalisation de ce délire permet de à la personne psychotique de se libérer de ses besoins archaïques en les projetant vers l’extérieur et ainsi le rendre insensible à travers la création de sa part d’une nouvelle réalité, fermée à toute communication. Le délire de persécution arrive d’une manière brutale où en amont il y a une forte crise d’angoisse qui va provoquer chez la personne psychotique un syndrome de dépersonnalisation et de bizarrerie provoquant un sentiment de persécution. La personne a une décharge qui se situe au niveau des pulsions non intégré psychiquement, Elle a une sensation de morcellement pour réorganiser sa propre réalité face à ce chaos interne d’une manière délirante pour la rendre en phase avec son principe du plaisir. Elle va donc projeter sur l’environnement sa pulsion sur un objet persécuteur. Le mécanisme de défense est par conséquent projectif. La vraie réalité est donc interprétée, tout est voulu contre elle, il n’y a plus de hasard. L’ensemble des événements, des mots, des gestes sont considérés comme des agressions, de l’hostilité, d’allusions négatives sous-jacentes de menace, d’avertissement à son encontre. Lorsqu’elle a un ressenti émotionnel ou physique, cela est le signe d’une persécution. Le délire est progressif car tous les éléments de la vraie réalité renforcent sa conviction de persécution. La personne devient dangereuse et tend vers un passage à l’acte.

  • le délire de jalousie :

la personne psychotique a le ressenti constat d’être trompée, elle en est convaincue de son intuition. Elle met l’ensemble de son énergie pour chercher des preuves ou des pistes. Le principe est de faire passer sa relation à deux avec une troisième personne imaginaire du même sexe que elle.
On peut dire que c’est un refoulement inconscient d’une pulsion homosexuelle où elle projette sur la personne imaginaire la pulsion d’amour en la retournant d’une manière opposée créant une relation d’une forte passion pour son rival. La personne laisse transparaitre une colère profonde envers la personne imaginaire qui laisse supposer que ses pulsions profondes sont rejetées consciemment. La personne psychotique est en boucle auprès de son bien-aimé pour connaître ses sources de plaisir envers la personne imaginaire. Il s’en découle généralement une haine profonde envers son conjoint qui met en avant des accusations persécutrices.
A l’inverse, on peut citer le délire passionnel.

  • le délire d’interprétation :

Le psychotique ayant un délire d’interprétation se base sur une vérité personnelle envahissant son esprit journalièrement, où l’ensemble de son environnement est interprété. Chaque moment de la journée révèle un sens secret qu’il faut décrypter pour conforter son délire imaginaire. Plus il accumule de preuve, plus son délire est conforté. Il est dans une optique de convaincre la masse en se positionnant comme un Maître de vérité, seul lui a la vérité absolue. C’est un porte-parole et souhaite en devenir le messager. La personne est inspirée par une force au delà de l’imaginaire pour transmettre un message universel afin de conditionner les futures générations.

  • le délire de revendication :

Le psychotique ayant un besoin d’affirmer sa supériorité pleine et intégrale mais non reconnue, est une personne remplie d’orgueil et d’intransigeance. Dans cette optique, il fait énormément de demande judiciaire pour dénoncer des persécutions imaginaires et demander réparation pour avoir une reconnaissance jamais acquise par le passé. Il revendique ouvertement et d’une manière convaincue qu’il est l’inventeur d’objets incroyables, qui est à l’origine de découverte mais qu’il a été biaisé au dernier moment où une personne à récupérer la vedette. Il peut être aussi se présenter comme le porte parole officiel d’une manière autonome de valeurs spirituelles, morales et sociétales mais sans pouvoir intégrer d’associations.
La personne a besoin d’une reconnaissance absolue des frustrations passées qui est un besoin primaire pour lui. Il est mégalomane où il est persécuté car il est seul contre tous victime d’un complot contre son besoin fondamental.

B. Le déclanchement d’une crise

Tout psychotique peut parler du déclanchement d’une crise. Il y a trois caractéristiques :

  1. il y a toujours quelque chose de l’extérieur qui vient le déclencher. Ca commence à un moment donné. Cela peut être le fait d’une image, de croiser quelqu’un par exemple.
  2. le déclanchement de la crise psychotique a une signification personnelle et énigmatique : le plus couramment, ce sont les voix. Elles sont plus que des hallucinations verbales. C’est une explosion de l’imaginaire qui n’est plus régulé par le symbolique. Ce qui est imaginaire est pris pour du réel.
  3. Le psychotique est celui qui se croit, celui qui est dans la certitude, qui ne doute pas, qui n’a pas besoin de preuve. Au contraire, c’est lui qui cherche à convaincre les autres.

A noter qu’une crise psychotique ne se déclenche pas toujours. Ce sont les phénomènes de suppléance dont le cas le plus célèbre est celui de Jean-Jacques Rousseau. Dans sa situation, la gestion de se psychose est passée par l’écriture. L’écriture était suppléante et l’a toujours empêché de déclencher une crise aigu. Car autant que la parole est naturelle au névrosé, autant l’écriture est naturelle au psychotique. c’est à dire que l’on peut être reconnu médicalement comme psychotique et avoir une vie équilibrée lorsque l’on a trouvé un support adapté.

Il existe différents types de trouble psychotique.

C. Les troubles psychotiques

  • La psychose infantile précoce :

L’enfant psychotique n’est pas initialement déficitaire mais sa maladie l’empêche d’utiliser ses performances. L’apparition de la psychose va entraver le développement et les apprentissages. Un tableau déficitaire grave mais secondaire est alors observé.

La psychopathologie du processus psychotique contribue aussi à la constitution d’un tableau déficitaire. Il provoque une coupure avec la réalité externe, la réalité corporelle, avec soi-même, une confusion entre le soi et le non-soi, des mécanismes de défenses archaïques (clivage, déni, idéalisation, identification principalement) contre les pulsions violentes et l’angoisse.

L’âge d’apparition de la psychose est déterminante. Plus la psychose va s’exprimer précocement plus la réduction des performances cognitives sera grave.
Par exemple, si la psychose s’exprime avant l’apparition du langage, elle gênera l’acquisition de celui-ci et par la suite l’enfant risque de ne jamais pouvoir parler. Alors que si la psychose est postérieure, il pourra garder cette acquisition.

Le médecin va mettre en place une chimiothérapie adaptée aux phénomènes hallucinatoires et délirants du malade. L’objectif est de canaliser ces phénomènes afin de pouvoir établir un dialogue relativement cohérent avec lui et ainsi faire un travail thérapeutique. Ce travail a pour objectif la resocialisation de l’enfant et une atténuation du délire. Il est de même très important de leur faire des activités intellectuelles pour éviter une perte rapide et irrémédiable des capacités cognitives.

  • La schizophrénie :

La décompensation psychiatrique vers la schizophrénie intervient à partir de dix-sept ans jusqu’à la trentaine et cela concerne principalement les hommes (à deux tiers). Cela fait suite à une situation particulière vécue comme traumatique ou à la suite d’une consommation de toxiques chez une personnalité schizoïde. Le mode d’entrée intervient à travers un épisode délirant marqué ou progressivement avec une installation d’hallucinations principalement auditives qui lui font perdre son intégrité identitaire et dans un délire progressif d’interprétation de son environnement. Le schizophrène développe son imaginaire délirant provoquant une coupure de la réalité et de la communication. Cela implique au sein d’une conversation, un arrêt en pleine phrase pour écouter ses voix internes. Il est handicapé par ses hallucinations et devient de plus en plus sur la défensive. Le psychotique renie de plus en plus la réalité en vivant dans son propre monde avec sa propre authenticité.

La schizophrénie se caractérise par un morcellement par peur de l’éclatement, une discordance voir une absence de cohérence, une ambivalence des sentiments, des traits autistiques, aucunes dimensions imaginaires, une absence de la réalité, une utilisation d’un langage abstrait voir impossible, un morcellement physique, un éclatement au niveau du corps. La personne a ni de demande, ni de réponse.

En l’absence d’une crise, le contact visuel est très compliqué à maintenir car cela est vécu comme une agression, donc il doit se protéger en fuyant la relation et rester solitaire. Il a un contact froid et distant. Il n’a aucun attachement sur le monde, il est superficiel à ses yeux car il entretien son délire à travers son esprit rêveur où l’imaginaire est ultra riche prenant la forme d’utopie de toute puissance. C’est pourquoi les schizo adorent les bandes dessinées fantastiques.
La personne ne reconnaît pas ses émotions tout en étant hypersensible où l’environnement est codifié. Lorsqu’elle est frustrée, la personne se repli encore plus sur elle et s’isole sous la protection d’un parent. Il y a une absence de délire et intègre encore la réalité mais d’une façon limitée. Il n’a aucun affect et reflète une image détachée avec des comportements bizarres extrêmes non adaptés dans la forme et le fond (opposition et affection). Ils sont énigmatiques et paradoxaux basés sur le processus délirant.

Il existe différents types de schizophrénies :

  1. La schizophrénie simple : La personne ne critique pas son délire ni ses hallucinations mais elle comprend sa maladie. Elle est donc scrupuleuse dans la prise de son traitement ce qui lui permet de travailler en milieu ordinaire.
  2. L’hébéphrénie : Lors de la décompensation, la personne développe une déficience intellectuelle légère à modérée.
  3. L’oligophrénie : Lors de la décompensation, la personne développe une déficience intellectuelle profonde, irrécupérable. La prise en charge se fera en MAS ou en FAM.
  4. La schizoaffective : Appelé aussi la schizosensitive, la personne adopte un comportement hystérique lors de sa version d’éclatement. Son délire de persécution vécu et provoque chez la personne malade un état dépressif majeur couplé à une sensation de dévalorisation. La personne est timide, soumise est toujours dans l’auto dévalorisation. C’est donc un mélange de schizophrénie et de bipolarité dans le sens où la personne alterne des états dépressifs, des humeurs hautes et des délires.
  5. La schizoparanoide : Il y a un passage à l’acte lors de la décompensation paranoïa.
  6. L’héboïdophrénie : Il y a des symptômes psychopathiques où dès que la personne a gouté au passage à l’acte médico-légale, elle recommence. La prise en charge lors d’une crise aigu est très encadrée, isoler le patient, baisser le ton de la voix, ne pas le regarder en face et ne jamais lui tourner le dos.
  • La bouffée délirante aigue :

La bouffée délirante aigue se caractérise par une forte angoisse interne presque instantanée sans motif apparent. Il y a quand même des signes annonciateurs les jours précédents la crise où la personne inquiète son entourage à travers sa présentation, ses épisodes d’excitation où progressivement ses codes moraux, sociaux et familiaux se gomment. Cela concerne une personne n’ayant aucun antécédent psychiatrique où l’anxiété majeure fait suite à un facteur :

  1. psychogénétique : une forte sensation ou émotion ou un traumatisme psychologique.
  2. organique : une réaction suite à une infectieux sur le plan somatique ou suite à la prise de toxique.

C’est un délire avec des hallucinations à travers des représentations internes qui mobilisent l’ensemble de ses sens. L’éclosion du délire principalement d’influence est brutale, soudaine avec un délire polymorphe et transitoire (mélancolique, maniaque ou confusionnel). La personne vit de l’intérieur des expériences délirantes, elle a des convictions délirantes. Par exemple, une personne est dans une pièce vide la nuit, elle est persuadée d’être sur un chantier et commence à réparer la porte. Les thèmes du délire s’enchainent rapidement sans lien entre eux (possession maléfique puis un changement de sexe par exemple).
La personne est dépersonnalisée, sa pensée est nécrosée, elle ressent un changement physique interne et psychique. Sa conception de son environnement est déréglée, la réalité est maintenue mais les codes ont changé. La notion du temps et de l’espace est quant à elle transformée. Elle est en capacité de repérer la réalité et de parler où il y a une superposition de son délire à la réalité.
L’humeur de la personne extrême est variable passant de l’état de tristesse profonde à un état d’exaltation et d’agitation heureuse.

Cet état peut durer un mois. Son comportement est inadapté où il y a un fort risque de passage à l’acte suicidaire ou agressif. Cela concerne principalement les jeunes adultes. Il peut y avoir un épisode unique ou cela peut entrainer l’entrée dans une psychose chronique.

  • La psychose paranoïaque :

Il est estimé d’après les statistiques que deux pour cent de la population ont un trouble psychotique paranoïaque.

Il y a une angoisse de morcellement. La personne a le soucis du moindre détails, du mot employé. Son interlocuteur ne doit jamais lui dire qu’elle délire car tout est interprété, tout est pris au premier degrés en étant susceptible et est dans l’incapacité de reconnaître qu’elle a des difficultés psychologiques rigides. Elle a peu de relation sociale stable et qui perdure dans le temps. Son délire est concentré ce qui implique que ses autres comportements sont adaptés.
Sa communication est faite d’une manière uniquement logique faussée par la passion, catégoriquement sévère remplie de jugement basée sur un dommage personnel sur le plan moral, physique ou matériel. Elle met toujours en avant son délire de vérité en se sentant la proie d’un mépris. Il n’a aucune confiance en l’autre. Il ressent le fait de ne pas être compris et jugé encore une fois à tord.
Par contre, lorsque le paranoïaque est au sein d’un groupe de personne, il se sent persécuté par les différents regards posés sur lui surtout lorsqu’on ne lui adresse pas la parole. Chaque élocution d’une personne est pris pour compte personnel, d’une manière directe et frontale sous forme de sous-entendu. Lorsque des personnes rigolent entre eux, il se sent agressé car il est convaincu que c’est dirigé contre lui. C’est vécu comme un moment angoissant. Il a l’impression que personne ne l’aime, tout le monde est nocif pour lui basé à partir d’une sensation.

Le psychotique a une écriture très serrée, sans interlignes par peur de l’intrusion dans l’écriture. Il est homophone, xénophobe, procédurier, intolérant et possède une paranoïa dangereuse pour autrui. Il a une relation purement narcissique, il surinvestit son image, il a une identification en miroir. Il a aucun humour, a un contact froid, dégage aucune émotion apparente et adopte une posture physique tendue.

La personne est :

  1. orgueilleuse : elle est méprisante pour son prochain. Elle a une estimation d’elle-même grandiose.
  2. egocentrique : elle est dans l’incapacité de se remettre en question.
  3. méfiante : le psychotique se représente constamment des soupçons pendant et après avoir rencontré quelqu’un.

La personne psychotique sous la forme paranoïaque est dans un délire de persécution automatique et interprétatif où rarement des hallucinations sont présentes.

  • Les autres types de psychose :
  1. La psychose puerpérale : La psychose puerpérale intervient dans les heures qui suivent l’accouchement. Il peut toucher les hommes mais cela est très rare.
  2. Les paraphrènes : Il y a une absence de d’hallucinations mais énormément de délires sous la forme onirique, religieuse et fantastique. Ils vivent plutôt bien leurs délires.
  3. Les psychoses hallucinatoires chroniques : Il y a des hallucinations précoces (adolescence). Elles sont négatives et autodestructrice.

Conclusion

D’après différentes théories psychanalytique, toute personne développe durant son enfance une structure de la personnalité sphère psychique soit névrotique, soit psychotique. Est-ce héréditaire? Quels sont les facteurs qui rentre en compte dans la structure du psychisme?

Comment devient-on acteur de la psychose? Les études démontrent qu’un événement vécu comme traumatique déclenche une pathologie mentale unique ou chronique basée sur la structure de notre psychisme. Soit la personne tombera en dépression, développera une névrose pathologique, ou sombrera dans la psychose. De plus, la consommation de toxique peut déclencher une psychose (plus qu’une névrose), où le produit consommé n’est pas de bonne qualité, trop coupé, ou la personne était dans une fragilité absolue lors de la prise.

Comment solidifier en amont sa structure psychique? Est-il nécessaire de bien se connaître psychiquement pour mieux anticiper les conséquences d’un événement tragique?

Traiter d’une manière définitive
la psychose et ses troubles psychotiques,
s’arrête à la raison du Nouvel Ordre Mondial

Nunsuko, artiste conceptuel

Article publié le, 09/12/2020

Sources

https://www.vidal.fr/maladies/psychisme/schizophrenie-psychoses.html

https://www.universalis.fr/encyclopedie/psychose/

https://nospensees.fr/le-lien-entre-lart-therapie-et-les-psychoses/

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